Qu'est-ce qui n'a pas encore été dit sur ce livre? Tant d'éloges tournent. Tant le glorifient. D'autres ne l'aiment pas, car trop verbeux ou que sais-je d'autres. On est sur d'une chose, ce livre ne laisse pas indifférent. Soit il charme, soit il débecte!
+++ La quatrième de couverture +++
Un groupe d'élite, formé dès l'enfance à faire face, part des confins d'une terre féroce, saignée de rafales, pour aller chercher l'origine du vent. Ils sont vingt-trois, un bloc, un nœud de courage : la Horde. Ils sont pilier, ailier, traceur, aéromaître et géomaître, feuleuse et sourcière, troubadour et scribe. Ils traversent leur monde debout, à pied, en quête d'un Extrême-Amont qui fuit devant eux comme un horizon fou. Expérience de lecture unique, La Horde du Contrevent est un livre-univers qui fond d'un même feu l'aventure et la poésie des parcours, le combat nu et la quête d'un sens profond du vivant qui unirait le mouvement et le lien. Chaque mot résonne, claque, fuse : Main Damasio joue de sa plume comme d'un pinceau, d'une caméra ou d'une arme... Chef-d'œuvre porté par un bouche-à-oreille rare, le roman a été logiquement récompensé par le Grand Prix de l'Imaginaire.
+++ Mon avis +++
Ouah, la claque!!! Tout pourrait se résumer à cela tant tout a déjà été dit et redit pour ce livre. Mais ayant lancé une lecture commune de ce roman que je lis bien longtemps après la troupe, je vais me plier à l'exercice de la chronique.
Ce qui est certain, c'est qu'il y'a la masse qui aime, ce pack qui adore et plie pour contrer en vrais symbiose avec la Horde. Et puis il y'a ceux qui contrent la vague et qui n'ont pas apprécié pour différentes raisons, car finalement, tous les goûts sont dans la nature et à chacun son livre!
Pour ma part, je rejoins bêtement la masse. J'ai personnellement été sous le charme. Si le début s'annonçait un peu difficile, tant le monde est âpre et dure, on entre vite en contact avec le pack pour souffrir et vivre avec eux. Il y'a tous ces personnages, différents les uns des autres. Ces êtres qui voient le monde de manières différentes alors qu'ils ont tous été conditionné pour une seule et même mission : atteindre l'extrême amont. Des caractères différents et surtout des manières de s'exprimer différentes. Déjà là, il y'a un tour de force. Bravo monsieur Damasio.
Mais revenons à l'histoire. Ce groupe de personnages forts différents, des êtres aux compétences diverses qui forment un seul et unique groupe. Un pack aggloméré qui se doit être uni face au monde et contre le vent, tel une équipe de rugby face à la mêlée. Leur mission : remonter au vent. Leur avantage : être la première Horde à être arriver aussi loin en si peu de temps. Dès lors on devient des héros vivants! Bien sur, dans ces cas là, on ne se fait pas que des amis.
Tout cela nous créé une histoire, une aventure, qui tient plus de la fantasy que de la SF. Encore que tout cela n'est que pure étiquette et qu'ici on est bien perdu quelque part au milieu. Mais les étiquettes on s'en fout! Ici tout ce que l'on sait, c'est qu'on est sur la terre ferme. A priori, de ce que l'on en sait, elle est plate et le vent souffle toujours dans le même sens : de l'amont vers l'aval. La source de ce vent est à l'origine de nombreux mythes mais surtout découvrir l'amont est la quête ultime de toute Horde, ce pour quoi elle est formée. Et Golgoth est près à tout endurer pour y arriver avec ses hordiers. La lutte contre le vent et les éléments. Les rencontres avec les autres humains, souvent méprisés par la Horde parce qu'ils ne sont que des obliques ou bien des navigateurs qui usent de machines pour remonter au vent, bref des gens sans aucun honneur. De ces rencontre naissent des dissensions, autant internes qu'externes. La rencontre de l'autre est toujours une confrontation. Sans oublier ses êtres que sont les chrones, masses informes ou protéiformes, parfois inoffensives, parfois dangereuses. Des êtres qui pourraient sortir de imaginaire d'un Léo, l'auteur d'Aldébaran.
Il y'a de l'imagination dans le monde que nous offre Alain Damasio. Il y'a de l'exotique également avec cette grande cité d'Alticcio dans laquelle le troubadour livrera sa joute contre le Stylitte. Ce combat du verbe et de la strophe juste, du mot qui claque et de la rime qui tranche, nous offrira une des plus belles luttes qu'aie pu nous livrer la fantasy. Tout est dans le jeu de mots et la construction de phrases, offrant ainsi une merveille littéraire de combat langagier. Tout simplement fabuleux et sans doute la plus belle joute du genre! Et qu'on ne vienne plus me dire que la littérature de genre est une littérature pauvre! Car voici la parade nommé Alain Damasio.
Bien sur tout ce côté verbeux, parfois à outrance en prenant la forme d'un logorrhée éructée par le troubadour Caracole ou écrite par le scribe Sov Strochnis. Sans oublier le langage grossier, vulgaire et bourru, limite argot, du Golgoth... Tout cela en fait pour moi un livre superbement écrit, variant les styles et les approches multiples. Mais ceci fait que ce roman en dégoutera plus d'un. Soit il charmera comme cela a été le cas pour moi, soit il rebutera celui qui ne sera pas porté par la prose de Damasio et la fantaise de son monde.
A nouveau certains lecteurs seront déçu par la trame finalement fort linéaire. Mais on peut s'y attendre quand on sait que la Horde est là pour une seule chose : contrer amont et remonter aux origines. Bref, pas grand chose d'une aventure de héros. Ceci dit, moi cela m'a intrigué car cela va à l'encontre de la fantasy anglo-saxonne habituelle. Un brin de poésie brute dans un univers de vent dur. Évidemment, j'en connais chez qui cela ne passera pas. Mais cette légèreté du fil conducteur permet de mettre en avant ce qui est important : les personnages, leurs caractères, leurs manières de voir leur monde et leur propre Horde.
Tout au long de leur quête les Hordiers vont avancer. Certains se poseront des questions, d'autres mourront, mais tout cela n'empêchera pas le groupe de continuer à avancer, contre vents et tempêtes. Derrière toute cette avancée se cachent des questions presque philosophique. L'aventure de la Horde a quelque chose du mythe de Sisyphe également, cette absurdité de la lutte permanente et du but à atteindre. Il y'a également quelque chose du pessimisme réaliste de Schopenhauer, nos hordiers se posant régulièrement la question du devenir de leur quête une fois l'amont atteint. Que vont-ils devenir? Que devient la vie une fois sa quête aboutie, une fois ses désirs assouvis? Je n'ai pas pris personnellement le temps de rentrer dans l'analyse, je ne le fais jamais réellement d'ailleurs pour un roman, mais voilà un livre dont il me plairait de lire une analyse philosophique ou autre chose du genre.
Bref, ce livre est plein de choses. Ce livre est riche de son style et de cette écriture magnifique qui vous transporte. Le monde en lui-même est intriguant, cet univers où le vent ne souffle que dans un seul sens. Les personnages sont attachant de par leurs caractères propres , leurs manières de s'exprimer et leurs visions du monde. Sans oublier les questions philosophiques qui égrènent se livre en filigrane. "La Horde du Contrevent" est pour moi un livre merveilleux. Au jour d'aujourd'hui, je le classerais fort probablement dans mon hypothétique top 10 des meilleurs livres. On verra ce qu'il en est dans quelques mois, mais toujours est-il que j'ai vraiment adoré ce livre. Qu'on le lise, qu'on le découvre et puis à chacun de voir s'il l'aime ou pas. Mais pour moi, aujourd'hui, c'est un chef d'œuvre.
Ce qui est certain, c'est qu'il y'a la masse qui aime, ce pack qui adore et plie pour contrer en vrais symbiose avec la Horde. Et puis il y'a ceux qui contrent la vague et qui n'ont pas apprécié pour différentes raisons, car finalement, tous les goûts sont dans la nature et à chacun son livre!
Pour ma part, je rejoins bêtement la masse. J'ai personnellement été sous le charme. Si le début s'annonçait un peu difficile, tant le monde est âpre et dure, on entre vite en contact avec le pack pour souffrir et vivre avec eux. Il y'a tous ces personnages, différents les uns des autres. Ces êtres qui voient le monde de manières différentes alors qu'ils ont tous été conditionné pour une seule et même mission : atteindre l'extrême amont. Des caractères différents et surtout des manières de s'exprimer différentes. Déjà là, il y'a un tour de force. Bravo monsieur Damasio.
Mais revenons à l'histoire. Ce groupe de personnages forts différents, des êtres aux compétences diverses qui forment un seul et unique groupe. Un pack aggloméré qui se doit être uni face au monde et contre le vent, tel une équipe de rugby face à la mêlée. Leur mission : remonter au vent. Leur avantage : être la première Horde à être arriver aussi loin en si peu de temps. Dès lors on devient des héros vivants! Bien sur, dans ces cas là, on ne se fait pas que des amis.
Tout cela nous créé une histoire, une aventure, qui tient plus de la fantasy que de la SF. Encore que tout cela n'est que pure étiquette et qu'ici on est bien perdu quelque part au milieu. Mais les étiquettes on s'en fout! Ici tout ce que l'on sait, c'est qu'on est sur la terre ferme. A priori, de ce que l'on en sait, elle est plate et le vent souffle toujours dans le même sens : de l'amont vers l'aval. La source de ce vent est à l'origine de nombreux mythes mais surtout découvrir l'amont est la quête ultime de toute Horde, ce pour quoi elle est formée. Et Golgoth est près à tout endurer pour y arriver avec ses hordiers. La lutte contre le vent et les éléments. Les rencontres avec les autres humains, souvent méprisés par la Horde parce qu'ils ne sont que des obliques ou bien des navigateurs qui usent de machines pour remonter au vent, bref des gens sans aucun honneur. De ces rencontre naissent des dissensions, autant internes qu'externes. La rencontre de l'autre est toujours une confrontation. Sans oublier ses êtres que sont les chrones, masses informes ou protéiformes, parfois inoffensives, parfois dangereuses. Des êtres qui pourraient sortir de imaginaire d'un Léo, l'auteur d'Aldébaran.
Il y'a de l'imagination dans le monde que nous offre Alain Damasio. Il y'a de l'exotique également avec cette grande cité d'Alticcio dans laquelle le troubadour livrera sa joute contre le Stylitte. Ce combat du verbe et de la strophe juste, du mot qui claque et de la rime qui tranche, nous offrira une des plus belles luttes qu'aie pu nous livrer la fantasy. Tout est dans le jeu de mots et la construction de phrases, offrant ainsi une merveille littéraire de combat langagier. Tout simplement fabuleux et sans doute la plus belle joute du genre! Et qu'on ne vienne plus me dire que la littérature de genre est une littérature pauvre! Car voici la parade nommé Alain Damasio.
Bien sur tout ce côté verbeux, parfois à outrance en prenant la forme d'un logorrhée éructée par le troubadour Caracole ou écrite par le scribe Sov Strochnis. Sans oublier le langage grossier, vulgaire et bourru, limite argot, du Golgoth... Tout cela en fait pour moi un livre superbement écrit, variant les styles et les approches multiples. Mais ceci fait que ce roman en dégoutera plus d'un. Soit il charmera comme cela a été le cas pour moi, soit il rebutera celui qui ne sera pas porté par la prose de Damasio et la fantaise de son monde.
A nouveau certains lecteurs seront déçu par la trame finalement fort linéaire. Mais on peut s'y attendre quand on sait que la Horde est là pour une seule chose : contrer amont et remonter aux origines. Bref, pas grand chose d'une aventure de héros. Ceci dit, moi cela m'a intrigué car cela va à l'encontre de la fantasy anglo-saxonne habituelle. Un brin de poésie brute dans un univers de vent dur. Évidemment, j'en connais chez qui cela ne passera pas. Mais cette légèreté du fil conducteur permet de mettre en avant ce qui est important : les personnages, leurs caractères, leurs manières de voir leur monde et leur propre Horde.
Tout au long de leur quête les Hordiers vont avancer. Certains se poseront des questions, d'autres mourront, mais tout cela n'empêchera pas le groupe de continuer à avancer, contre vents et tempêtes. Derrière toute cette avancée se cachent des questions presque philosophique. L'aventure de la Horde a quelque chose du mythe de Sisyphe également, cette absurdité de la lutte permanente et du but à atteindre. Il y'a également quelque chose du pessimisme réaliste de Schopenhauer, nos hordiers se posant régulièrement la question du devenir de leur quête une fois l'amont atteint. Que vont-ils devenir? Que devient la vie une fois sa quête aboutie, une fois ses désirs assouvis? Je n'ai pas pris personnellement le temps de rentrer dans l'analyse, je ne le fais jamais réellement d'ailleurs pour un roman, mais voilà un livre dont il me plairait de lire une analyse philosophique ou autre chose du genre.
Bref, ce livre est plein de choses. Ce livre est riche de son style et de cette écriture magnifique qui vous transporte. Le monde en lui-même est intriguant, cet univers où le vent ne souffle que dans un seul sens. Les personnages sont attachant de par leurs caractères propres , leurs manières de s'exprimer et leurs visions du monde. Sans oublier les questions philosophiques qui égrènent se livre en filigrane. "La Horde du Contrevent" est pour moi un livre merveilleux. Au jour d'aujourd'hui, je le classerais fort probablement dans mon hypothétique top 10 des meilleurs livres. On verra ce qu'il en est dans quelques mois, mais toujours est-il que j'ai vraiment adoré ce livre. Qu'on le lise, qu'on le découvre et puis à chacun de voir s'il l'aime ou pas. Mais pour moi, aujourd'hui, c'est un chef d'œuvre.
+++ Mais encore +++
Le livre a reçu la Grand Prix de l'Imaginaire en 2006.
Lecture commune partagée avec Lily Tigre, Ptitetrolle, Reveline, Craklou, Julieblack et Pimousse4783. N'hésitez pas à aller lire leurs avis de lecture!
Lecture commune partagée avec Lily Tigre, Ptitetrolle, Reveline, Craklou, Julieblack et Pimousse4783. N'hésitez pas à aller lire leurs avis de lecture!
Je vous invite également à lire les avis contradictoires de ceux qui n'ont pas aimé, car à chacun ses goût et à vous de vous faire votre idée au milieu.
Il s'agit de mon 5ème livre lu dans le cadre du Challenge Chef d'oeuvre de la SFFF. Et le premier pour le rayon SF.
SF : 2/9 , Fantasy : 3/7, Fantastique : 0/2
Toutes les chroniques de ce challenge
Mon billet de participation.
Le Billet de présentation du Challenge
Il s'agit de mon 5ème livre lu dans le cadre du Challenge Chef d'oeuvre de la SFFF. Et le premier pour le rayon SF.
SF : 2/9 , Fantasy : 3/7, Fantastique : 0/2
Toutes les chroniques de ce challenge
Mon billet de participation.
Le Billet de présentation du Challenge
+++ Le livre +++
- Poche: 700 pages
- Editeur : Editions Gallimard (15 mars 2007)
- Collection : Folio SF
"La horde du contrevent" - Alain Damasio
Reviewed by Julien le Naufragé
on
vendredi, décembre 16, 2011
Rating:
Tu as fait un fort beau billet pour un livre qui mérite tous les honneurs. Oui je fais partie aussi de la masse qui aime, du pack qui adore et plie.
RépondreSupprimerJe l'ai lu il y a quelques mois déjà et l'impression qu'il m'a laissée est toujours aussi forte, c'est un livre incroyable qui ne laisse en tout cas pas indifférent qu'on aime ou pas.
Pour moi, c'était un coup de coeur, une expérience de lecture, une expérience de vécu. Pourtant, je ne suis pas particulièrement portée sur la SF ou la Fantasy. Mais ce livre est tellement à part ! Ca fait maintenant environ 9 mois je pense que je l'ai lu et il me marque toujours autant.
RépondreSupprimerUn grand, un très grand moment de lecture pour moi aussi !
RépondreSupprimerUne claque, c'est bien le mot !
RépondreSupprimer@ Endea : Merci de me dire que mon billet est bien. Cela fait plaisir. :-)
RépondreSupprimerCela me donne envie de lire son premier roman d'ailleurs.
@ Petite Fleur : C'est clair qu'il est à part. Autant dans la littérature de genre que dans un couloir indépendant. A mon avis, il pourrait plaire à pas mal de monde. Même s'il déplaira à pas mal d'autres...
@ Lorhkan : Haaa, ne dit-on pas "les grands esprits se rencontrent" ;-)
@ Lune: Oui mais une claque qui fait du bien! ;-)
quelle critique ! impressionnante ! Merci pour cette LC, car j'aurais eu l'occasion de lire un très bon livre, même si j'hésite encore à dire si j'ai vraiment aimé ce livre ou pas...
RépondreSupprimer@ Julie E. 'Pimousse4783) : Dis donc, tu me flatte là. Cela me gène et me fait plaisir. ;-) A toi de voir d'ici quelque temps si tu le garde dans les bons, les très bons ou les meilleurs! :-D
RépondreSupprimerRavie qu'il t'ait autant plu, j'étais tout aussi enthousiaste quand je l'ai lu ^^
RépondreSupprimer(moi j'avais l'impression d'entendre le vent siffler dans les oreilles pendant la lecture tellement c'était immersif)
@ Calenwen : Ha ça oui qu'il m'a plu! ;-)
RépondreSupprimerOuah! Quelle belle critique!
RépondreSupprimerEn tout cas, merci pour cette lecture commune, j'ai été ravie par ma lecture.
@ Folie-des-livres : Tu me flattes, cela me gène. Mais me fait néanmoins plaisir... La lecture fut un réel plaisir pour moi. RDV sur une autre lecture prochaine qui sait?
RépondreSupprimerJe ne sais pas ce qui se passe en ce moment, ce livre n'arrête pas d'être évoqué par les gens que je croise. Ton billet finit de me convaincre, je sens que je vais tenter la chose (mais elle me fait un peu peur, parce que les attentes sont tellement hautes que j'ai, encore une fois, peur d'être déçue au final).
RépondreSupprimer@ Cachou : Garde à l'idée qu'il peut te décevoir. C'est ce que j'ai fait vu la masse d'avis trop positifs à mon goût. Mais au final, j'ai absolument adoré!
RépondreSupprimerUn énorme coup de coeur pour moi aussi.
RépondreSupprimerUn grand bravo pour ton article qui rend bien hommage à ce roman.
Et si jamais tu trouves une analyse littéraire, je suis preneuse :-)
@ Cracklou : Si l'on veut trouver une analyse littéraire, c'est surement du côté de travaux de fin d'études qu'il faut se tourner. Ou alors un article dans un futur ouvrage qui traitera des réalisation d'aujourd'hui. Ou dans un magazine spécialisé. Mais cela pourrait être intéressant oui!
RépondreSupprimertrès chouette bouquin, il me réconcilie avec l’héroïque fantaisie. Merci pour ton conseil lecture!
RépondreSupprimer@ Archibald : Pour ma part, je le classerais pas en "héroic fantasy", juste en fantasy ou en merveilleux. Bref, une question d'étiquette qui ne retire rien à ce merveilleux livre excellemment écrit!
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